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On bouge pour les jeunes

Information fournie par Centraide Outaouais

Chaque mois, Le Droit AFFAIRES vous propose de découvrir une cause, une fondation ou un organisme caritatif, un projet, qui redonne à la communauté. Ce mois-ci, nous vous présentons « On bouge pour les jeunes », un programme chapeauté par Centraide et la Banque nationale.

Le programme

« On bouge pour les jeunes » a comme objectif d’encourager les gens à faire de l’exercice pour amasser de l’argent des deux côtés de la rivière des Outaouais.

Concept

La récolte d’argent est basée sur le nombre de pas, les déplacements actifs, les mouvements – marche, vélo, danse etc. -- que font les participants durant une période déterminée, du 1er au 21 mai en 2023. Le calcul de tous ces mouvements se fait avec une application téléchargée sur tout téléphone intelligent : movespring. Les participants peuvent calculer leurs mouvements dans leur vie quotidienne ou organiser des activités ciblées, en groupe, en famille, etc. pour encourager des gens à bouger ensemble. Lorsque certains nombres de mouvements sont atteints, les commanditaires versent de l’argent.

Où va l’argent

Il va à soutenir le travail de Centraide pour donner aux jeunes des lieux sûrs de jeu, d’apprentissage et d’épanouissement, des clubs de devoirs aux services de santé mentale.

Objectif

En 2022, les participants ont enregistré 10 millions de pas en seulement cinq jours. Le défi de 2023 est d’atteindre collectivement 10 millions de pas chaque semaine.

La genèse du projet

Dès le début de la pandémie, la Banque Nationale a reconnu que les jeunes défavorisés avaient du mal à s’en sortir. Leur équipe a approché Centraide Est de l’Ontario et Centraide Outaouais pour leur proposer un partenariat afin de faire changer les choses. L’opération « On bouge pour les jeunes » a ainsi été mise sur pied pour unir les efforts et offrir de l’aide aux enfants au moment où leurs besoins sont les plus criants.

La raison de tout cela

Bien que la COVID-19 n’affecte plus nos vies comme avant, les jeunes de la région vivent encore les effets néfastes de l’isolement et de l’anxiété de ces dernières années. Les études montrent que les problèmes de santé mentale sont plus courants que jamais parmi les jeunes. Sans compter les difficultés de concentration à l’école. Les jeunes de collectivités rurales ou de familles à faible revenu ont moins accès aux activités parascolaires ou aux programmes d’été qui pourraient leur permettre de rester sur la bonne voie en dehors de la salle de classe. L’augmentation du coût de la vie ajoute de la pression sur les aidants qui ont du mal à voir les besoins de leurs enfants.

PUBLIREPORTAGE

fr-ca

2023-05-27T07:00:00.0000000Z

2023-05-27T07:00:00.0000000Z

https://ledroit.pressreader.com/article/283089893525436

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