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BON DANS LES TROIS ZONES

SUR LA DÉFENSIVE

C’est un peu dur à croire. Il reste trois semaines à la saison régulière. Les Jets de Winnipeg sont en bonne posture. Ils devraient en principe participer aux séries éliminatoires. Pourtant, la motivation fait parfois défaut. Leur entraîneur, le vétéran Rick Bowness, admet qu’il a du mal à motiver ses troupes jour après jour. Comment est-ce possible? «C’est le groupe d’athlètes qui se trouve à notre disposition, réagit-il, un peu découragé. Notre travail consiste à leur donner un portrait honnête de la situation. Nous devons leur présenter la recette avec laquelle ils peuvent connaître le plus de succès. Par la suite, l’engagement doit venir de l’intérieur. Ils doivent bien jouer pendant 60 minutes. Nous devons leur donner l’heure juste et passer au prochain match.» Pour les fans de Winnipeg, qui ont soif de victoires, cette déclaration n’est certainement pas rassurante...

TERRITOIRE NEUTRE

On ne sait pas trop à quel point la direction du Wild du Minnesota savait ce qu’elle faisait au moment d’acquérir le gardien Filip Gustavsson dans une transaction l’été dernier. Depuis le mois de novembre, les statistiques du Suédois sont supérieures à celles de tous les autres gardiens de la LNH. Il ne se complique pas la vie. Il veut juste gagner. «Les gens qui aiment perdre ne devraient pas faire de sport», a récemment résumé l’homme de peu de mots au Star Tribune de Minneapolis.

À L’ATTAQUE!

David Perron a passé les six premières saisons de sa carrière à Saint-Louis. Après, il est parti pendant trois ans pour explorer le monde. Il est revenu à Saint-Louis. Puis, il est reparti. Il est revenu. Il est reparti à nouveau. Le voici à Detroit, à 34 ans. Quand il a disputé un premier match à Saint-Louis dans l’uniforme des Red Wings, il a été accueilli comme un roi. On a présenté une vidéo spéciale de 90 secondes à l’écran géant. Le banc des Blues s’est vidé. Tous ses anciens coéquipiers ont tenu à le saluer. «Il a été accueilli comme une légende des Blues. C’était comme s’il s’agissait de Brett Hull ou de Bernie Federko», a déclaré l’attaquant des Blues Brayden Schenn au

St. Louis Post-Dispatch. La réaction de Perron? «Honnêtement, j’essayais juste de ne pas fondre en larmes!»

MAG SPORTS

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2023-03-25T07:00:00.0000000Z

2023-03-25T07:00:00.0000000Z

https://ledroit.pressreader.com/article/282325389222697

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